Jérome COLLIGNON a écrit:
+1 avec Gégé, j'ai loupé un épisode
Rien de rare dans ce qui s’est passé, malheureusement :
A achète à B, qui a quitté le forum GMT depuis quelques temps, une traction à restaurer (sans la voir, oui ça existe ...).
A ouvre un post sur son projet de restauration, et y explique aussi son inquiétude et son désappointement sur le fait que les N°s de coque de la TA achetée ne correspondent pas à la C.G. mais sans aucunement citer nommément B.
A précise qu’un dépôt de plainte est en cours.
L’affaire se gâte quand C s’introduit dans le post et dévoile l’identité de B tout en finassant sur le fait de ne pas l’avoir dit en le disant.
L’affaire se gâte encore plus quand C commence à utiliser à l’égard de B, qui n'intervient toujours pas n'étant plus inscrit, les termes « escroc » et d’autres doux qualificatifs du même tonneau bien entendu sans connaitre, comme nous tous, les tenants et aboutissants détaillés de l’affaire.
J’ai rappelé alors, étant peu amateur des procès unilatéraux mais visiblement en vain, qu’il valait mieux s’abstenir de toute prise de position lorsqu’on n’avait pas accès à l’avis des deux parties et aux détails de l'affaire.
Fred est un vrai gentil, et je le dis avec beaucoup de respect (et d'envie
), et n’a donc logiquement pas vu venir la catastrophe :
Il fallait de suite mettre fin à ce post, où l’intervention funeste d’un Zorro de bazar n’avait strictement rien à faire dans une histoire qui ne concernait que A et B, et à régler exclusivement entre eux, entre hommes.
Le « FTG » ou encore « Ferme Ta G… » lorsque l’on est informé d'une affaire délicate entre deux personnes, reste une notion assez basique, mais à l’évidence pas encore assez comprise par tous, en particulier par C qui s'est senti obligé d’intervenir à tort et à travers et s'est cru légitime dans ses commentaires. Merci à lui !
Bien entendu, le Forum GMT étant de lecture publique, B a eu vent de ce post et est intervenu auprès de Fred.
Le Forum GMT est repris, c’est très bien à très court terme, mais je crains que ce ne soit que provisoire si la justice se mêle de l’échange considéré, où n’importe quel avocat se régalera grandement d’une copie d’écran de ces échanges, qui doit déjà être soigneusement conservée. En droit français cela s’appelle de la diffamation publique et peut mener assez loin.