Essai.
Une trentaine de kilomètres en CX 2500 GTi hier 30 novembre.
Séance d'équilibrage avec ma nouvelle machine des pneus d'hiver sur mon ex-CX que je n'avais jamais pu rouler en cinq ou six ans de présence dans mon garage
Son nouveau détenteur m'a fait l'honneur de pouvoir enfin faire un essai routier en bonne et due forme !
Quel confort de conduite ... Des sièges que l'on regrette de ne plus avoir dans une C5 aujourd'hui. Une grande routière, douce et silencieuse pour son époque (1989).
Après s'être fait à la direction Diravi et l'effet de surprise passé, puis repéré la pédale de freins...
elle laisse une impression tout-à-fait comparable à ma C5 en terme de confort et passage des inégalités de la route.
Sa boîte auto ZF est discrète... on ne sent pas les changements de rapports... assez étonnante comparée à celle des Benz 230E de la même époque qui avaient tendance à taper sec surtout à froid.
Cette auto est si docile et facile qu'après une dizaine de kilomètres le coude bien calé sur l'accoudoir et le volant entre deux doigts qu'on a l'impression qu'on l'a depuis toujours...
Le léger flottement latéral que l'on ressent en C5 ou C6 est totalement absent sur celle-ci. Ce doit être une spécificité des hydractives 3+ sans doute.
Sa prise de roulis est particulière, comparée à la dernière mouture qui vire plutôt plat mais n'est pas gênante.
Il lui manquera un peu le côté sportif, plus nerveux et réactif du THP de la dernière C5 avec son option sport.
Bref, une sacrée bonne voiture très agréable à rouler qui me conforte dans l'option C5 avec son hydraulique pilotée et pourtant bien plus complexe.
La grand-maman de mon Tourer était déjà vachement en avance sur son temps.
... Et la C5 est véritablement une digne descendante des hydrauliques de Citroën.