L'Espace Forums de "La Traction Universelle"

Bonsoir
Inscrit depuis ce soir, je suis Olivier de Limoux dans l'Aude, 37 ans.
Je bosse dans l'ameublement option fabrication literie
Passionné de Citroën depuis 15 ans dèjà! j'ai débuté avec une ID de 65 en 95...que j'ai revendu l'année dernière pour enfin craquer sur une 11BL du 28/02/52.
J'ai débuté la mécanique sur cette ID pendant de longues années, j'y ai pris goût et maintenant j'essais de faire le maximum sur mes voitures.
Dans mon garage en ce moment j'ai une 2cv AZ, une DS21, une DS19, une C6 , un HZ depuis hier et une Aronde coupé !! La traction étant chez le peintre jusqu'à son anniversaire!! Toutes ne sont pas en état de rouler!
Une photo prise à l'eurocitro 2009
Je vais le présenter dans la bonne rubrique en suivant.

Olivier

Cher Olivier,

que c'est bien de te trouver sur ce forum! Merci pour la photo. Mais dis-moi, tu roules avec la Traction ou elle est en restauration?

Tu vas rigoler, mais j'ai une bouteille de Blanquette au frigo ici à Rome! Je vais aller la boire à ta santé et à la santé de toutes tes belles Citroen et meme à ton Aronde! Car nous revons tous de voler un jour...

Sur le printemps de ma jeunesse folle,
Je ressemblais l’arondelle, qui vole
Puis çà, puis là ; l’âge me conduisait
Sans peur ni soin, où le cœur me disait.


ça y est, Christoph se prend pour Clément Marot

Et c'est toujours l'imparfait, le passé ou carrément le conditionnel passé qui nous animent... Pourquoi ne nous laissent-ils pas vivre nos somptueuses mélancolies en paix?

Salut!!
Elle me manque ma 11...c'est pour ça que j'écume internet!
Donc oui elle est en peinture sur Perpignan, normalement je la récupère fin février, j'ai hâte!
Pour ta bouteille, dès qu'elle est finie tu me le dis et je t'en envois d'autres!
Michel, je dois aller chercher quelqu'un à Blagnac jeudi à 15H05, je prendrais la route entre midi et 2, si tu veux qu'on se retrouve pour un café?? tu me dis!
Bonne soirèe!!
Olivier

On peut aussi envoyer l'imparfait du subjonctif, comme Alphonse Allais

"Oui, dès l'instant où je vous vis,
Beauté féroce, vous me plûtes.
De l'amour qu'en vos yeux je pris
Sur-le-champ vous vous aperçûtes.
Mais de quel air froid vous reçûtes
Tous les soins que pour vous je pris !
Combien de soupirs je rendis !
De quelle cruauté vous fûtes !
Et quel profond dédain vous eûtes
Pour les vœux que je vous offris !
En vain, je priai, je gémis,
Dans votre dureté, vous sûtes
Mépriser tout ce que je fis.
Mais un jour je vous écrivis
Un billet tendre que vous lûtes ;
Et je ne sais comment vous pûtes,
De sang-froid voir ce que je mis.
Ah ! fallait-il que je vous visse,
Fallait-il que vous me plussiez,
Qu'ingénument je vous le disse
Qu'avec orgueil vous vous tussiez !
Fallait-il que je vous aimasse
Que vous me désespérassiez,
Et qu'en vain je m'opiniâtrasse
Et que je vous idolâtrasse,
Pour que vous m'assassinassiez !"